Les Hors‑la‑loi Royaux — Partie 3 : Une journée en ville, des secrets murmurés et la promesse d'un foyer 2024-12-09 ASMR DVD

Les Hors‑la‑loi Royaux — Partie 3 : Une journée en ville, des secrets murmurés et la promesse d'un foyer

Écoute l'aventure complète ici : https://youtu.be/NKFw9woo2w8 (PART 3 | Royal Outlaws | Outlaw is a Prince? | ASMR Boyfriend Roleplay | DVD Audios)

Écoute la playlist complète : https://www.youtube.com/playlist?list=PLZ-AOM6mbOcD7twkA5qXwWZkDLHu5MZmm

Te voilà, mon aventurier·ère — juste à temps pour remonter en selle. C’est ton Deep Voice Daddy (oui, le timbre grave qui fait battre le cœur et frissonner), prêt à te conter le prochain chapitre de notre saga « Les Hors‑la‑loi Royaux ». Dans cette troisième partie, nous partons pour une journée qui n’a rien d’ordinaire.

— Une excursion étonnamment civilisée —

Imagine le soleil matinal filtrant entre les branches, notre petite bande réunie — et un nouveau visage particulièrement charmant — qui compte les sangles et vérifie les roues du chariot. Pas de razzia au programme : pour une fois, nous faisons semblant d’être des civils. Nous achetons des vêtements chauds, des provisions pour l’hiver et quelques outils indispensables. Mais soyons francs : nous restons des hors‑la‑loi, et l’idée de « emprunter » sans laisser de traces flotte toujours dans l’air.

— Une balade douillette et taquine (toi, moi, et le Bûcheron) —

C’est ici que je perds mon sang‑froid, en douceur. Toi, ma compagne de voyage, tu n’as pas encore de monture. On pourrait y remédier, mais pour l’instant je t’invite à monter dans le chariot avec moi et le Bûcheron — il peut porter dix hommes, tu verras, nous y serons parfaitement à l’aise. Viendras‑tu t’asseoir derrière moi et passer tes bras autour de ma taille ? Ne fais pas l’intéressée — ce n’est pas que pour le confort, même si je ne me plaindrai pas de te sentir blottie contre mon dos. C’est surtout pratique : les chevaux peuvent secouer, et je voudrais que tu restes en sécurité.

Sur la route poussiéreuse, ton rire contre mon oreille, je remarque combien tu portes bien mes vêtements. Drapée dans ma veste, tu la rends plus belle que je ne pourrais. Nos taquineries coulent naturellement, comme un ruisseau en forêt. Honnêtement, je suis pris : surpris et charmé par la facilité avec laquelle tu t’intègres parmi mes hommes. Cela fait‑il si peu de temps que tu es entrée dans notre camp ? Tout semble déjà plus ancien, dans le meilleur des sens.

— Un passé secret, une compréhension partagée —

Tu m’as demandé qui je suis. Je te dirai ceci : toi et Alexander connaissez la vérité sur mes origines royales. Je ne peux pas risquer que toute la troupe me voie comme un prince en fuite. Ici, nous sommes liés par des choix et la nécessité, pas par un nom. Pourtant, je crains que ma lignée ne change ta manière de me regarder. J’ai quitté la vie de palais pour une raison : la liberté a un goût plus doux après avoir connu la cage dorée.

Et toi ? Tes manières raffinées, ton esprit vif, ta compétence discrète… tout cela raconte une histoire. Me trompe‑je en supposant que tu as déjà occupé une place élevée dans la société ? Quelque chose — ou quelqu’un — t’a poussée à partir. Un mariage arrangé, peut‑être, que tu n’as pas pu accepter ? Peut‑être sommes‑nous des âmes rebelles sœurs : deux esprits qui ont refusé un destin tout tracé.

Nous parlons à voix basse, à l’écart du camp, comme pour partager des secrets au petit matin. La confiance grandit mot après mot. Et je fonds devant la façon dont tes yeux brillent quand la lumière les frôle.

— À toute vitesse : un moment de pure liberté —

Quand nous perdons presque la troupe, je cède à l’envie d’un raccourci et nous quittons la route battue. Le vent dans les cheveux, la vitesse, ton rire qui perce le bruissement des feuilles — adrénaline et tendresse se mêlent. Quand tu te dresses sur la selle, équilibrée avec une grâce naturelle, mon souffle se coupe. Tu m’épates à chaque instant.

Je lâche les rênes et te les confie. Symbolique, non ? Moi qui remets le contrôle entre tes mains, ne serait‑ce que pour un instant. Tu nous guides à travers un sentier boisé baigné de lumière douce. Le monde se fond en vert et or, et je découvre quelque chose que je ne m’étais jamais permis : la joie de laisser quelqu’un entrer vraiment.

— Au village : couleurs, étoffes et pas pressés —

Nous arrivons au village et retrouvons nos camarades, qui tiennent déjà les chevaux près des étals. Nous déambulons entre tissus chauds, bottes robustes et gilets assortis. Tu choisis des chemises ; je savoure le spectacle de tes gestes, et tout paraît étrangement domestique pour une bande de vauriens. Mon cœur s’échauffe à l’idée de te voir emmitouflée pour l’hiver.

On te trouve un cheval — un beau destrier nommé Tucker, solide et fier. Je t’encourage à le choisir librement : ta place parmi nous te donne droit à ta propre monture. Tandis que je porte paquets et provisions, mes pensées vagabondent vers l’avenir : toi à mes côtés, plus aucune étrangère, une pièce essentielle du puzzle de ma vie.

— Des ennuis dans le paradis : la suspicion d’un shérif —

À peine installés, le chaos éclate. Quelqu’un de la troupe a volé, en dépit de mes consignes. Un shérif et sa troupe fondent sur nous : je dois nier, encore et toujours. La tension se tend comme une corde. On m’a reconnu — pas complètement, mais assez pour que le soupçon pèse sur ma couverture. Je ne peux pas les laisser nous suivre jusqu’au refuge.

D’un ordre pressé, je t’envoie avec Hank : « Suis‑le », je dis, convaincu que ton flair te ramènera saine et sauve. Pendant ce temps, j’attire le shérif et ses hommes loin, plongeant dans la forêt, me cachant dans une caverne, le cœur battant. Les poursuites ne me sont pas étrangères, mais cette fois c’est différent. Cette fois, quelqu’un m’attend — et je veux survivre pour d’autres raisons que la fierté.

— Une échappée belle et un retour déterminé —

Finalement, je sens les chiens du shérif se perdre et retrouve la sécurité des bois, guidé par les sabots réguliers du Bûcheron. De retour au camp, essoufflé et soulagé, ton regard inquiet m’accueille. Tu es saine et entière, plus belle encore sous la lueur du feu. Mais Alexander manque à l’appel : il est resté derrière dans la confusion. Personne ici ne veut risquer d’y retourner — sauf moi, et si je lis bien cette lueur farouche dans tes yeux, toi aussi.

Tu te tiens à mes côtés, défiant la lâcheté des autres. Ensemble, nous jurons de ne pas abandonner notre ami. Nous partirons dans la nuit pour le retrouver, quoi qu’il en coûte. À cet instant, tout doute s’efface : tu es, sans aucun doute, l’un des nôtres.

— La promesse de nouvelles aventures —

Voilà le tableau : Les Hors‑la‑loi Royaux — Partie 3 se tisse d’échappées audacieuses, de confidences chuchotées, de baisers volés dans l’imaginaire et de frissons d’aventure. L’intimité d’une balade matinale cède la place à un village haut en couleur, à une confrontation avec la loi, et au renforcement d’un lien que ni les trésors volés ni les shérifs soupçonneux ne briseront.

Pour celles et ceux qui m’ont suivi jusqu’ici, la route continue. L’hiver approche. Nos secrets alourdissent nos épaules, nos loyautés se précisent, et nos cœurs s’embrasent d’un courage nouveau. Le monde des Hors‑la‑loi Royaux s’enrichit à chaque aveu murmurés et à chaque regard partagé. Moi, je reste là — ton guide à la voix grave, ton compagnon fripon — murmurant douceurs et promesses audacieuses à ton oreille.

Si ce chapitre t’a plu, laisse un commentaire, partage avec d’autres amoureux de fantasy et abonne‑toi pour que nous continuions à chevaucher ensemble. Notre histoire ne fait que commencer : ensemble, nous transformerons ces secrets chuchotés en légende.

Dis‑moi, mon amour — dans quel monde de fantaisie aimerais‑tu t’enfuir ? Parle‑m’en dans les commentaires.

Ceci est Deep Voice Daddy.

Et je suis tout Ă  toi.