Captain — Emilia Rose : Quand l’insolence franchit la ligne
Te voilà, ma chérie. Le champ de bataille s’est enfin tu : trois Nightseps gisent dans la boue, chaque soldat est en sang, meurtri, à peine debout. Mais le capitaine Slate ? Il ne célèbre pas. Il ne sourit pas. Et quand une recrue particulièrement insolente tente de se faire porter jusqu’à son cheval, il répond d’un simple grondement et d’un ordre net :
« Elle. Peut. Marcher. »
C’est là que ça commence.
Mais bébé… ce n’est pas là que ça finit.
Ce samedi, je retrouve la géniale et délicieusement dérangée Emilia Rose pour notre nouvel audio : Captain — une histoire de punition sèche, grondante, à coups de ceinture, née de mois de tension non dite et du calme après la bataille.
La seconde où Jules se présente, après la tombée de la nuit, à la porte de son capitaine — seule, endolorie, le sourire en coin — Slate cesse de se retenir.
Il y a la guerre dehors, mais le vrai danger est dans sa chambre.
Jules sait très bien ce qu’elle fait. Elle a combattu à ses côtés pendant des jours, tranchant la chair des monstres comme si c’était rien. Elle voit chaque pansement autour de ses côtes, devine la douleur sourde qui plie son corps ; elle remarque comment son pantalon est serré là où la tension se cache.
Et pourtant elle frappe à la porte. Elle entre. Elle lance que son appartement est ennuyeux. Elle demande s’il va « bien ». Elle sait qu’il ne va pas bien. Elle sait qu’il est en érection. Elle sait qu’il se soulage tout seul depuis des semaines en pensant à son petit sourire insolent.
Quand elle essaye de repartir, comme si elle ne savait pas qu’elle gâche sa nuit :
« Je ne t’ai pas libérée, Jules. »
C’est le basculement.
Ce que vous entendrez dans cet audio :
Du premier cliquetis de la boucle de ceinture au dernier grognement, ce n’est pas un simple rapport : c’est une rétribution. Une confession violente, silencieuse, servie par la force et la friction. Vous vivrez :
• Les claquements de la ceinture sur ses fesses. • Un membre chaud et battant pressé contre des culottes trempées. • Des thrusts rudes qui la heurtent contre le canapé. • Des mains sur sa gorge, des dents sur son épaule, et l’éjaculation enfouie profondément. • Un capitaine qui perd le contrôle à chaque respiration.
Mais tout cela ne se limite pas à la domination. C’est aussi ce qui survient après la bataille : quand l’armure tombe, quand la colère éclate, quand l’homme qui t’a sauvé la vie cède enfin aux pensées qu’il s’était juré de refouler.
Un homme qui n’admettra pas ses sentiments. Une femme qui les connaît déjà.
Jules ne réclame pas seulement le sexe ; elle quémande la vérité.
« Depuis la nuit où tu m’as sauvée… je me touche en pensant à toi. Dis‑moi que tu ressens la même chose. »
Slate — haletant, en sueur, perdant son rythme — articule la seule chose qu’il parvient à dire :
« Je ne pense pas à toi. »
Pourtant il ne s’arrête pas de la baiser. Il ne se retire pas. Il déverse chaque goutte dans son sexe et laisse ce flot parler pour lui.
Les sentiments, Slate ne peut pas les avouer : pas quand la prochaine mission pourrait l’arracher à elle, pas quand la perdre serait le briser.
Alors il attrape son menton, le force à lever les yeux, et donne un dernier ordre :
« N’en parle à personne. »
Pourquoi cet audio laisse des traces
Captain est de cette race d’histoires qui font mal là où il faut : brutale, sans excuses, sur le fil entre contrôle et désespoir. Si tu as déjà désiré un dominant qui ne dira jamais « je t’aime » mais qui laissera des marques parce qu’il n’en peut plus — Slate va devenir ton obsession.
À prévoir :
• Une montée en tension lente mais affamée. • Une répression émotionnelle — un homme qui ressent trop et parle trop peu. • Une punition à la ceinture pour avoir feint l’impuissance. • Des jeux d’esprit : « Si tu voulais te reposer, tu n’aurais pas ouvert la porte. » • Une finition interne — chaque goutte enfouie profondément, sans excuses.
D’Emilia, avec feu
Cette collaboration sombre et délicieuse, Emilia et moi l’avons façonnée ensemble — et croyez‑moi, elle s’est amusée à pousser le script au bord de la rupture. Captain Slate incarne l’homme grondant, contrôlant et dangereusement contenu que tu veux entendre susurrer des obscénités — et au moment où il craque, c’est sale, c’est brutal, c’est inoubliable.
Pas d’arc de rédemption. Pas de mot de sécurité chuchoté entre deux baisers. Juste discipline, déni, et le type de punition qu’on réclame deux fois.
Prêt(e) pour tes ordres, soldat(e) ?
Écoute Captain ce samedi 14 juin, dans la série Dungeons of Desire, en exclusivité sur Ream : https://reamstories.com/emiliaroseaudio/public
Le teaser est déjà sur Instagram : @EmiliaRoseAudios — https://www.instagram.com/reel/DKuPgJ6stOP
Et une fois rassasié(e), retrouve‑moi sur le Discord pour débriefer. Tu auras besoin de quelqu’un après celui‑ci.
« Tu n’iras nulle part. Pas tant que je ne t’aurai pas ruinée correctement. »
À samedi. Amène ton attitude. Il amènera la ceinture.
Dis‑moi, mon amour — quelle est ta façon préférée de te détendre le soir ? On en parle dans les commentaires.
Ceci est Deep Voice Daddy. Je suis tout à toi.
